Conférences



CONFÉRENCES   PROPOSÉES


    1796,  Première Campagne d'Italie.

        
        C'est en Italie, lors de la Première Campagne, que Bonaparte révèle son génie, tant militaire, avec les emblématiques victoires de Lodi, Arcole ou Rivoli, que propagandiste, en les immortalisant par l'art pictural. Alors commence l'épopée napoléonienne. 
        C'est le Bonaparte que même les détracteurs de Napoléon peuvent admirer et c'est encore l'esprit et le souffle de la Révolution qui motivent et guident les soldats de l'Armée d'Italie.





 1798, l'Expédition d'Egypte. 
 

 
        C'est la suite logique de l'Italie, Bonaparte se rend rapidement compte que "le fruit n'est pas encore mûr" pour prendre le pouvoir. Il part en Egypte pour pérenniser la gloire qu'il a acquise en Italie et ne pas la perdre dans le marasme politique du Directoire.
        Certes, si c'est un fiasco militaire, c'est en revanche une réussite scientifique grâce à la "Description de l'Egypte" publication (de 1809 à 1828) des travaux des "savants" qu'il a eu le génie d'emmener avec lui.
        Bonaparte révèle là une autre face de son génie, celui de l'organisation administrative : il se révèle homme d'état.
  
             J'ai exécuté un travail plus précis et plus court sur les "Savants" que Bonaparte a emmenés avec lui en Egypte, qui s'intitule : "Les Savants de Bonaparte".

 1812, la Campagne de Russie.



               C'est le résultat des 5 voyages que j'ai effectués en Russie, dont 4 sur le parcours suivi par Napoléon et son armée durant la trop funeste Retraite de Russie, avec en point d'orgue le passage de la Bérézina, où son génie militaire se manifeste une nouvelle fois  pour sauver les restes de son armée.
           Ce passage qu'il peut effectuer grâce au sacrifice de ses 300 pontonniers, est considéré maintenant par tous comme une victoire.
           Je rends un hommage appuyé à ces pontonniers anonymes qui s'y sont sacrifiés.
           Sur ce parcours, chaque ville, petite ou grande, a son musée qui regorge de documentations, gravures et peintures que j'ai pu capter et inclure dans une projection de ces magnifiques iconographies (dont quelques unes sont inconnues en France).


 Les épouses.



              Ce que j'ai considéré au début de mon travail comme une conférence divertissement s'est vite révélé une belle histoire.
         Le titre est un peu provocateur, puisque Napoléon n'a été marié que deux fois. Mais qui est donc cette "troisième épouse" ? Nous le découvrons ensemble.
          Nous pénétrons dans l'intimité de Napoléon et dans les obligations et contraintes du pouvoir, pour nous rendre compte que sa vraie maîtresse c'est la France.
          J'ai conçu une variante de cette conférence : "Les épouses de Napoléon et la Reine Hortense".


                                             L'année 1814
            
             Nous parcourons cette période entre les "Adieux de Fontainebleau" d'une part, et le départ de l'île d'Elbe d'autre part.
             Nous suivrons l'Empereur s'installant dans son royaume, l'organisant, le modernisant, recevant ses visiteurs et ses compagnons : Madame Mère, la Garde, Marie Walewska et sa soeur Pauline. Puis nous nous apercevrons que les circonstances font qu'il ne peut que décider de partir.
             Nous le quitterons sur le port de Portoferraio lorsqu'il part sur sa flottille voguant vers la France.               


                                                L'Année 1815


                      De l'île d'Elbe, sa petite terre d'exil en 1814, Napoléon a- t-il mal compris la France de Louis XVIII ? Avait-elle changé ou avait-il changé lui aussi ?
               Ce qui est certain c'est qu'il n'avait plus ni la force, ni la volonté ni même la foi de lutter :
               A l'intérieur : contre les intérêts personnels, l'abandon des élites (civiles et militaires), les intrigues et trahisons de Fouché.
               A l'extérieur : de porter la France post révolutionnaire à bout de bras pour résister à cette Europe monarchiste, qui, depuis 15 ans, n'a eu de cesse de se coaliser pour tenter de l'abattre.
               Lorsqu'elle y arrive enfin à Waterloo, alors l'Empereur, estimant son rôle terminé, quitte discrètement la scène et prend son envol vers la légende.


                                                 La Cavalerie




               Avec sa prestance, son panache, sa flamboyance et sa bravoure la cavalerie de Napoléon faisait rêver.
               Dans la main de l'Empereur, elle s'est distinguée sur de nombreux champs de bataille d'Europe : Somosiera, Eylau ou Waterloo.
               Commandée par des chefs tels que Murat, Lasalle et d'autres, dont les noms résonnent encore dans nos mémoires et sur lesquels les anecdotes ne manquent pas, elle a largement contribué à construire l'épopée napoléonienne.
               L'évocation aujourd'hui de ces faits d'armes et de ces chefs fera à coup sûr encore briller dans nos yeux des milliers d'étoiles.


                                                                              
                                               La Stratégie

                Bonaparte revient d'Egypte avec une expérience d'Homme d'état et, Premier Consul, travaille à redresser la France anéantie par la Révolution en lui donnant la Paix et de solides institutions encore en vigueur aujourd'hui.
                L'Angleterre, jalouse de la suprématie qu'acquiert alors la France, rompt la Paix d'Amiens, et avec les Monarchies européennes inquiètes, forme la 3° Coalition pour abattre cette France post-révolutionnaire qui se relève.
                Bonaparte devenu Empereur, héritier de la Révolution, est contraint de quitter sa table de travail et de troquer son manteau de pourpre contre la fameuse redingote grise et le chapeau légendaire.
                Le grand Capitaine déroule alors sa stratégie, toujours étudiée dans les grandes académies militaires, et en trois mois calme les ardeurs bellicistes de ses voisins ennemis, les surprend à Ulm et les bat sans appel à Austerlitz, le 2 décembre 1805, jour anniversaire de son sacre, mettant fin à la 3° Coalition.
                L'Empereur ne pourra pas pour autant se remettre à sa table de travail car l'année suivante, en 1806, la Prusse le contraint à revenir coucher au bivouac.




              

                                                                                                        

                                        Sainte-Hélène 

 

                                                                                                

                Après Waterloo et l'abdication le 22 juin 1815, Napoléon décide de se mettre sous la protection des lois anglaises.             
                Le 15 juillet il monte à bord du Bellerophon, navire anglais qui patrouille au large de l'île d'Aix. L'Empereur est conduit en Angleterre où on lui signifie son exil à Sainte-Hélène.
                Le 15 octobre il débarque sur l'île avec une vingtaine de ses compagnons d'exil, notamment Las Cases à qui il dictera ses campagnes en les remodelant pour la postérité.
                Exilé sous un climat tropical humide et venté, dans des locaux exigus, soumis aux tracasseries de son geôlier, il meurt le 5 mai 1821.
                Le Retour des cendres à Paris le 15 décembre 1840 sera sa dernière victoire.
 
                                        10 mai 1796 : Lodi 



                La Première Campagne d'Italie commence à Nice le 27 mars 1796 avec une armée nue et mal nourrie qui végète depuis 4 ans à la frontière des Alpes et de l'Italie, coincée entre mer et montagne.
                Le Directoire qui ne lui porte que peu d'intérêt, lui envoie pour la commander, un gringalet général d'alcôve de 27 ans, chétif, au teint blafard, mais au regard bleu et profond.
                Il n'aura pas fallu 2 mois pour que ce gringalet et son armée de vas nu pied franchissent, sous la mitraille, un pont de bois, celui de Lodi, boutent les Autrichiens hors d'Italie et que ce général devienne Napoléon Bonaparte, craint de toute l'Europe et plus tard Napoléon 1er Empereur des Français.

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                Ces conférences, que je devrais appeler conférence-projection ou diaporama, comprennent :

  • Un texte original dit en direct.
  • Sur une projection continue de diapositives; photos de la riche iconographie napoléonienne, et photos prises sur le terrain.
  • Agrémentées de musiques.
  • Assorties de nombreuses paroles de mémorialistes (enregistrées par des acteurs semi-professionnels)
  • Et de nombreuses cartes animées (logiciel PowerPoint) permettant une meilleure compréhension.